Offerte à un inconnu par mon Maître

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il y a 2 ans

Il m’avait parlée plusieurs fois de cette expérience de soumise sexuelle lors de nos jeux BDSM orienté sexe. Lors de nos petits délires, il me bandait les yeux, m’attachait bras et jambes en croix sur le lit, « bien offerte » comme Maître se plaisait à le dire.

Lors de ces jeux, il me parlait en me disant qu’il avait invité le voisin, un ami et même l’équipe de foot. Comme je devinais ses scénarios, parfois assez poussés, je parvenais à fantasmer et prendre du plaisir. Mes jouissances étaient parfois très fortes. Et puis un jour, il m’a proposée de le faire une fois en vrai ! Comme nous ne sommes pas libertins, jouer avec d’autres personnes ne nous pose aucun problème, mais sans pénétration. Un jour, j’ai fini par me demander ce que cela me ferait si j’acceptais un scénario où je serai soumise sexuelle avec un autre homme.

Le problème avec les fantasmes, c’est la tentation d’y succomber...

Je ne vais pas épiloguer sur nos discussions, pour résumer, disons qu’il a su me convaincre et surtout, me rassurer.

Le fameux soir venu, j’étais à deux doigts de dire « non, on arrête » et puis, cela avait tellement l’air de lui faire plaisir que je me suis laissée faire. Il était très doux, très câlin quand il m’a fait mettre une cagoule BDSM, ses yeux brillaient du feu du désir et j’ai même eu droit à des bisous de vorace.

Comme pour certaines de nos soirées BDSM sexe, il m’a donc entravée bras et jambes écartées. A partir de là, il ne m’a plus parlée pour me laisser entrer dans ma bulle de soumise. Me connaissant bien, ses caresses m’ont rapidement excitée et faite un peu oublier la suite du « programme ». Il est même descendu entre mes cuisses pour me faire des bisous là où c’est bien bon en me fouillant délicatement le chaton de ses doigts joueurs. Je commençais à planer sérieusement quand il s’est arrêté.

J’ai su après que l’inconnu ne devait pas sonner mais juste taper doucement à la porte. Voilà pourquoi je ne l’ai pas entendu arriver.

Quelques instants plus tard, quatre mains m’ont caressée. Et là, j’ai compris que ce ne serait réellement pas comme ses petits scénarios coquins. Même si je savais que je ne risquais rien puisque mon Maître était là, j’avais quand même un peu peur. Mon Maître s’est mis à jouer avec mes tétons et, soudain, l’inconnu a posé notre magic wand massager sur mon clitoris. Oufffff. Cela nous était déjà arrivé de jouer avec d’autres personnes, à ce moment là, je me suis plu à espérer qu’il n’y aurait pas de pénétration.

Lorsque le plaisir à commencer à pointer son nez, je me suis totalement détendue, offerte mentalement à leurs si délicieux attouchements. La jouissance montait en moi, j’ai commencé à tirer sur les entraves, comme si je ne voulais pas. Cette sensation d’impuissance me plait, j’aime me sentir SA chose sans possibilité de fuite. La vague de contraction était si forte que je me suis débattue en prenant un pied d’enfer. Sans me laisser le temps de me remettre, l’homme s’est couché sur moi. D’une main il a guidé son sexe en moi et m’a prise sans difficulté ni douleur, et pour cause, je devais être trempée.

Lorsqu’il a plongé sa tête dans le creux de mes épaules, j’ai eu la confirmation que ce n’était pas mon Maître, que cette fois j’y passais, que je devenais une soumise sexuelle. Cela m’a fait tout drôle et en même temps... L’inconnu était doux, tout en étant très ferme. Pour me rappeler sa présence et peut-être pour me rassurer tout en m’aidant à prendre du plaisir, l’homme s’est cabré pour le laisser jouer avec mes tétons pendant qu’on me baisait.

Cela n’a pas duré, les pinces digitales se sont retirées mais, le fait de savoir qu’il était là, qu’il regardait sa soumise se faire prendre comme une esclave, m’a excitée. Je n’étais plus qu’un corps offert en libre service, même en tirant sur mes entraves, je ne pouvais y échapper. L’inconnu pouvait me prendre à sa guise, je n’avais qu’un droit : me taire et subir ses asseaux.

Ces pensées perverses et ses coups de reins de plus en plus virils ont eu l’effet d’un électrochoc pour ma libido de soumise. Dans ma tête, il y avait d’autres hommes devant la porte, ils attendaient leur tour pour venir baiser l’esclave. Si je ne suis pas réellement vaginale mais plus clitoridienne, cet inconnu allait parvenir à me faire jouir en profitant de l’esclave en libre service. Cela n’a pas tardé, je me suis mise à tirer sur mes entraves comme pour fuir, comme pour aider mon chaton à se contacter sur le membre le labourant à présent. Que je me débatte et me contracte a fini par faire jouir l’inconnu. Il s’est vautré sur moi, sur sa proie, sur l’esclave, quelle drôle de sensation que d’être encore emmanchée sous le corps d’un inconnu couché sur vous !

Après m’avoir fait deux bisous dans le cou, il s’est retiré et a quitté le lit. Quelle image devais-je donner de moi ?

Maître n’a pas tardé à me rejoindre. Sans un mot il s’est lui aussi jeté sur l’esclave, son esclave ! Je l’ai immédiatement reconnu à sa peau. Il a pris ma fleur sans plus de précaution et j’ai aussitôt aimer me faire labourer par mon Maître. Voir sa soumise se faire sauter avait du l’exciter car il était très, très en forme... Autant dire que j’ai à nouveau décollé et tiré sur les entraves « pour le fuir... ». En grosse égoïste, j’ai regretté qu’il jouisse rapidement, j’en voulais encore.

La redescente sur terre a été plus difficile ! ! ! Mentalement, je me suis soudain sentie pute, sale, vulgaire et autres mots peu glorieux de ma personne. Et là, comme toujours, Maître a été à la hauteur de la situation. Il ne m’a abandonnée que pour aller me chercher une flûte de champagne avant d’éteindre la lumière et de me détacher. Il m’a serrée très fort dans ses bras pour me câliner puis a retiré ma cagoule. Même si je transpirais à grosses gouttes, il m’a couverte de bisous en me serrant dans ses bras.

Lors de notre discussion, il m’a avouée que ce n’était pas de voir sa femme se faire sauter qu’il l’avait excité, c’est de voir sa soumise jouir avec qui, lui, avait décidé. Je lui ai aussi avoué que l’expérience avait été difficile mais finalement très excitante même si j’avais honte.

  • Honte de quoi ? Tu étais une soumise victime des folies de son Maître, c’est moi qui ait tout manigancé ! Tu n’y ais pour rien.

  • J’ai accepté de le faire !

  • Oui et après, tu ne pouvais pas t’échapper ni fuir le plaisir que je voulais te donner. C’est une autre forme de BDSM et de soumission ma chérie !

EPILOGUE

Nous ne sommes toujours pas libertins. Nous avons juste ajouté un papier indiquant « Esclave sexuelle » dans notre petit sac où nous tirons au sort ce qu’il va m’arriver le week-end. J’ai à la fois peur de revivre ce que j’ai vécu, et en même temps...

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

PRECISIONS
Les femmes dites soumises sexuelles ne sont pas des objets. Elles choisissent librement et ce sont des jeux d'adultes consentants.
Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
Toutes les femmes ne sont PAS soumises.

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C'est quelques choses que je n'ai jamais testée et qui m'attire tout en m'inquiétant. Merci pour ce récit !
Une histoire très joliment raconté et réaliste. Pour l'avoir vécue mes sentiments étaient les mêmes après.
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